jeudi 15 novembre 2012

Invitation à la réflexion et au discernement…

Avaaz : un écran de fumée

occultant les bombes libératrices

à uranium appauvri



L'Association Kokopelli a décidé de présenter " Avaaz : un écran de fumée occultant les bombes libératrices à uranium appauvri ", - un article d’investigation concernant l'organisation Avaaz, rédigé par Dominique Guillet et posté sur son site Liberterre - car nous sommes scandalisés qu’une pétition en défense de Kokopelli ait été présentée, sans notre consentement, par cette organisation militariste (1). Cette pétition, de plus, colporte des informations complètement erronées. Depuis plusieurs mois, nous ne cessons d’informer nos amis et clients que nous n'avons pas été condamnés par la Cour Européenne de Justice à stopper nos activités (4), que nous ne sommes pas fermés, que nous continuons d’exister et que nous continuons de distribuer des semences.

Par la même occasion, nous dénonçons tout autant l'opacité de l'organisation Change.org qui, elle aussi, a mis en ligne une pétition concernant Kokopelli sans notre accord (2). Ces sites pétitionnaires sont une gigantesque farce : Dominique Guillet, en utilisant une fausse adresse e-mail et un pseudonyme, a lancé une parodie de pétition adressée au directeur de Change.org pour demander que la pétition pour sauver Kokopelli soit supprimée ! (3) Cela prouve amplement le niveau de non-sécurisation de Change.org - une organisation basée à San Francisco, employant plus de 100 salariés et mettant en ligne 500 nouvelles pétitions tous les jours. La première question fondamentale que l'on doive se poser : quels sont les gentils financiers qui rémunèrent plus de 100 salariés chez Change.org ? L'un de ces gentils financiers est l'incontournable milliardaire prédateur George Soros, évoqué dans l'article de Dominique sur Avaaz, car Change.org fait partie de Media Consortium, un pseudopode de l'empire Soros. Change.org et Avaaz partagent de la même opacité quant à leurs finalités intrinsèques ; d'ailleurs, Ben Wikler, le directeur de campagne d'Avaaz vient de devenir le vice-président et directeur exécutif de Change.org.

Quel est l’objectif réel de toutes ces pétitions - prétendument destinées à sauver Kokopelli - dont le premier effet collatéral est de semer le doute, dans le public, quant à notre capacité de continuer notre travail de libération des semences et d'exister ?

Lire également : Les Pétitions : les psychopathes prédateurs s'en torchent leur barbecul !

(1) http://www.avaaz.org/fr/petition/Que_la_justice_revienne_sur_la_decision_prise_contre_Kokopelli/

(2) http://www.change.org/fr/pétitions/françois-hollande-faire-annuler-la-condamnation-de-kokopelli

(3) http://www.change.org/fr/pétitions/ben-ratray-et-les-responsables-de-change-org-faites-stopper-la-pétition-concernant-l-association-kokopelli

(4) http://kokopelli-semences.fr/juridique/proces_perdu_2012


Invitation à la réflexion et au discernement :

Dominique Guillet est une personnalité très entière et très idéaliste…

Certains de ses propos sont révélateurs de son propre pathos dont celui-ci :

« Les Peuples de cette belle Planète, notre Terre-Mère, apprendront-ils un jour qu'une société qui ne peut pas discerner et éliminer, par tous les moyens possibles, la psychopathie, en son sein, n'est tout simplement pas digne de survivre ? »

En lisant cette phrase je n’ai pu m’empêcher de penser à Hitler qui lui aussi était très idéaliste et passionné et qui a su entrainer tout un peuple dans la folie meurtrière…

Comme quoi l'enfer est bien pavé des meilleures intentions du monde !

Nous avons tous un grain de folie !

Nous sommes tous plus ou moins dérangés…

Mais il vaut mieux commencer par s’occuper de ses propres dérangements psychiques si l’on ne veut pas contribuer à paver l’enfer avec nos meilleures intentions.

Cela suppose néanmoins un retournement salutaire qui ne peut être entamé sans avoir été au bout de certaines impasses !

Contacté à ce sujet Dominique Guillet confirme qu'il ne s'agit pas d'un dérapage et renvoie sur son article intitulé : Contre-Violence et Ethique du Guerrier

samedi 10 novembre 2012

dimanche 4 novembre 2012

mardi 25 septembre 2012

Fête de la Création au Monastère de la Ste-Présence


Dans le cadre de la Fête de la création autour de Saint François d’Assise, le Monastère de la Sainte-Présence (en Bretagne, à côté de Redon), organise du 5 au 7 octobre prochain des journées de rencontre sur le thème :

“ La grande fraternité cosmique
et l’unité indivisible de la création ”

L’extraordinaire diversité de la vie sur notre planète forme une grande fraternité où chaque être, chaque élément qui la compose est indissociable de l’ensemble, et indispensable au tout.

Durant ces trois journées, des intervenants d’horizons divers — philosophes, scientifiques, journalistes, théologiens, agriculteurs, artistes, représentants de traditions spirituelles — apporteront leur témoignage et le fruit de leurs recherches sur ce sujet qui nous interpelle.

Des conférences, des ateliers interactifs, des expositions et des concerts ponctueront ces trois journées de célébration, autour de la liturgie eucharistique de la Saint-François le dimanche matin.

Vous trouverez le programme complet et les informations pratiques sur ces journées en cliquant sur le lien ci-après :

Inscriptions au monastère : 02 99 90 11 01.

“L’homme fait partie intégrante de ce tout
et doit retrouver sa place en tant que frère,
comprendre son rôle spirituel de jardinier de la Création”

mardi 18 septembre 2012

Trois petites chattes…

Trois adorables petite chattes européennes tigrées
nées fin mai et totalement sevrées,
propres et en parfaite santé,
sont disponibles pour l'adoption
Si vous êtes intéressés
merci de nous contacter au 02 99 58 12 94
(dans la journée de préférence)
Géraldine & Pierre

Lucie avec Shadow, sa maman.
Lucie est très indépendante…

Félicie est la plus caline.
Elle adore se rouler à nos pieds !

Léonie, malgré sa mine un peu renfrognée,
est très affectueuse !


dimanche 2 septembre 2012

Un cancer du sein riche en enseignements


Note préliminaire : Ryke Geerd Hamer fut une personnalité très controversée au point d'être condamné et emprisonné à plusieurs reprises en Allemagne, en Espagne et en France…

Les coperniciens Galilée et Giordano Bruno le furent aussi en leur temps !

Plus près de nous Loïc Le Ribault fût également poursuivi par par l'Ordre des médecins de France et par l'Ordre national des pharmaciens !



Ayant trouvé cet article de Jean-Jacques Crèvecœur dans le n°11 de Néosanté très pertinent j'ai décidé de le publier dans son intégralité.

« Un cancer du sein riche en enseignements » a été publié dans le numéro 11 du magazine Néosanté, paru en avril 2012. Ce magazine consacré entièrement au sens biologique et symbolique des maladies est disponible tant en version papier qu'en version électronique, partout en francophonie (y compris le Québec).


Financée exclusivement par les abonnements et les ventes dans des centres spécialisés (voir liste des points de vente sur leur site), cette revue ne contient aucune publicité.

Quand éduquer son enfant devient un calvaire

Début novembre 1998. À l’époque, je vis dans un petit village de l’Est du Brabant Wallon, en Belgique. Grâce à l’école du village, j’ai fait la connaissance de parents d’enfants qui fréquentent les mêmes classes que mes trois filles. Avec certains d’entre eux, des affinités se sont créées et je bavarde volontiers avec l’un ou l’autre à la sortie des cours. Nous nous rendons aussi des services mutuels, lorsque l’un d’entre nous n’est pas disponible pour assumer ses obligations parentales. C’est ainsi qu’une amitié est née avec Sylvie, femme courageuse et dynamique de quarante-trois ans, durement éprouvée par le décès de son mari, deux ans auparavant, suite à un cancer du foie. Sa fille Morgane était dans la classe de ma plus jeune fille lorsque le drame est arrivé.

Un soir, Sylvie vient sonner à ma porte. Elle est effondrée. Sa vie de mère monoparentale est devenue un véritable enfer. De plus, elle ressent depuis quelques mois une grosseur suspecte au sein gauche. « Jean-Jacques, me dit-elle, je suis extrêmement inquiète. J’ai vraiment l’impression d’être une très mauvaise mère pour Morgane. J’ai besoin de ton aide et de tes conseils… » Et elle me raconte qu’elle a perdu le contrôle sur les réactions de sa fille. Étant veuve et seule avec sa fille de six ans, elle se voit dans l’obligation de jouer à la fois le rôle de mère et le rôle de père. Mais chaque fois qu’elle dit NON à sa fille, chaque fois qu’elle lui pose une limite, Morgane fait des crises d’une intensité inouïe, tapant des pieds avec force, hurlant avec violence et se frappant la tête contre les murs. À un point tel qu’à plusieurs reprises, elle en a perdu connaissance. Quand je lui demande comment elle vit cette situation, elle me répond : « Je suis désespérée et inquiète pour ma fille. Déjà qu’elle manque de père depuis la mort de mon mari, mais en plus, je suis vraiment une très mauvaise mère. Je crains donc que mon enfant manque de tout ce dont elle a besoin… » me répond-elle.

À travers ses phrases, je comprends tout de suite l’origine de la grosseur dans son sein gauche. Comme le décrit Hamer, lorsque la femelle mammifère craint que son petit manque de nourriture, elle va multiplier le nombre des glandes mammaires et en modifier les performances, les rendant capables de produire un lait infiniment plus riche que le lait maternel ordinaire. Cette réaction naturelle du corps est caractérisé par la médecine officielle de cancer du sein. Pour Hamer, comme il l’énonce dans sa cinquième loi, il s’agit d’un « programme bien-fondé de la nature pour assurer la survie en situation d’urgence. » C’est bien ce que vit Sylvie : elle est convaincue que son jeune enfant est en train de manquer de tout (à la fois d’un père vivant et d’une bonne mère), il faut donc qu’elle compense en urgence ce manque essentiel et vital en développant, grâce à son cancer glandulaire du sein gauche1, une capacité à sur-nourrir sa fille…

Comme Sylvie est davantage préoccupée par les problèmes comportementaux de sa fille, je n’insiste pas sur sa grosseur au sein et je choisis de me centrer sur le véritable problème (comment éduquer son enfant adéquatement) plutôt que sur la conséquence de ce problème (la tumeur cancéreuse). Comme le disait Hippocrate, lorsque tu soignes une maladie, ne cherche pas seulement la cause, mais la cause de la cause. Je donne donc à Sylvie des conseils très précis, de manière très directive. Pendant deux heures, je résume à Sylvie ce que j’enseigne dans les formations de parents que je dispense depuis plusieurs années. Et je termine en lui disant : « Si tu appliques mes conseils à la lettre, tu verras, ta fille retrouvera son équilibre et vous connaîtrez à nouveau l’harmonie. » En lui disant cela, je suis convaincu de la réussite de ma stratégie, car elle se base sur mes propres expériences à la fois personnelles et professionnelles.

Quelques semaines plus tard, Sylvie interpelle ma femme pour lui confirmer que mes conseils ont superbement bien fonctionné. Sa fille ne fait plus aucune crise, l’harmonie s’est réinstallée entre elles et elle se sent à nouveau comme une bonne mère…

Une guérison spontanée aux allures inquiétantes

Mars 1999. C’est la première fois que je revois Sylvie depuis notre rencontre de l’automne précédent. Nous nous croisons « par hasard » dans l’agence bancaire du village. Sylvie manifeste une grande agitation. Elle vient de retirer de l’argent de son compte pour filer à l’hôpital en urgence : elle m’annonce en panique qu’elle doit se faire enlever le sein gauche au complet pour cause de cancer ! Je me souviens alors de sa grosseur au sein gauche que j’avais choisi de ne pas évoquer avec elle. Me rappelant ce qu’elle avait dit à ma femme également, je pensais sincèrement que tout était rentré dans l’ordre. L’accalmie avec sa fille aurait-elle été de courte durée ? Sa grosseur au sein avait-elle une autre origine ? Tout à coup, je suis pris d’un doute. Je lui demande alors de me préciser le diagnostic médical qui lui a été présenté. Elle me répond qu’elle a consulté quelques semaines auparavant et qu’on lui a découvert des microcalcifications, raison pour laquelle elle doit subir en urgence une ablation complète du sein…

Je sursaute en entendant cela. Puis je lui dis : « Mais c’est une excellente nouvelle que tu aies des microcalcifications ! Allons plutôt nous chercher une bouteille de champagne qu’on fête ensemble ta guérison. » Elle me regarde abasourdie. De mon côté, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je l’emmène illico dans mon bureau. Je sors un des livres de Hamer et je lui montre le passage qui décrit les microcalcifications comme le résultat de la désagrégation d’une tumeur glandulaire au sein. Je lui explique que pendant l’automne, elle a probablement démarré une tumeur cancéreuse qui s’est guérie d’elle-même depuis qu’elle ne s’inquiète plus pour sa fille. Et j’ajoute : « Ces microcalcifications en sont la preuve formelle. Ce que tu as dans ton sein, c’est tout simplement comme du lait caillé. »

Finalement, Sylvie s’est quand même rendue à l’hôpital, mais a postposé l’opération jusqu'à plus ample information. Elle a exigé de son oncologue qu’il lui fasse une biopsie pour mettre en culture les cellules prélevées. Trois semaines plus tard, l’hôpital la rappelait pour annuler l’opération : aucune activité maligne n’avait été détectée au niveau des microcalcifications.

Aujourd’hui encore, je repense à ce concours de circonstances qui a permis à Sylvie de garder sa belle poitrine intacte. Si elle avait subi un dépistage en novembre, son cancer en phase active aurait été découvert - elle serait rentrée dans la machine infernale de l’opération, de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Alors que la simple résolution de son problème parental suffisait à la guérir. Si elle ne m’avait pas croisé « par hasard » une heure avant d’entrer à l’hôpital, on lui aurait enlevé un sein parfaitement sain à cause de l’ignorance de son oncologue. Conclusion de cet épisode : le dépistage systématique n’est pas nécessairement synonyme de prévention. Parfois, c’est même le contraire qui se passe. Dans le cas de Sylvie avec qui je suis encore en relation aujourd’hui, cette aventure s’est bien terminée. Ce n’est pas le cas pour toutes les femmes…

Note : Cette explication ne concerne que les cancers glandulaires, qui représentent, en médecine, 30 % des cancers du sein. Les autres cancers du sein sont qualifiés de canalaires et concernent davantage la difficulté de rester en relation et en communication. Sylvie étant droitière, il est logique que ce soit son sein gauche qui soit touché, puisque c'est le sein réservé préférentiellement à la relation « mère-enfant ».



Les précédents articles de Jean-Jacques Crèvecœur se trouvent tous sur son site Internet.

En voici la liste :
Pour recevoir les prochains articles de Jean-Jacques Crèvecœur directement à votre adresse, il suffit de vous inscrire à sa liste d'envoi en suivant ce lien.

mardi 28 août 2012

De l'Humus à la Parole…

S’abaisser jusqu’à l’humus où se mêlent
Larmes et rosées, sang versés
Et source inviolée, où les corps suppliciés
Retrouvent  la douce argile,
Humus prêt à recevoir frayeurs et douleurs,
Pour que tout ait une fin et que pourtant
Rien ne soit perdu.

S’abaisser jusqu’à l’humus où se loge
La promesse du souffle originel. Unique lieu
De transmutation où frayeurs et douleurs
Se découvrent paix et silence. Se joignent alors
Pourri et nourri, ne font qu’un terme et germe.
Lieu du choix : la voie de mort mène au néant,
Le désir de vie mène à la vie. Oui, le miracle a lieu,
Pour que tout ait une fin et que pourtant
toute fin puisse être naissance.

S’abaisser jusqu’à l’humus, consentir
A être humus même. Unir la souffrance portée
Par soi à la souffrance du monde ; unir
Les voix tues au chant d’oiseau, les os givrés
Au vacarme des perce-neige !


Extrait du livre
Vraie Lumière née de vraie Nuit
24 poèmes de François Cheng,
accompagnés de 8 lithographies de Kim En Joong.
aux Éditions du Cerf


Kim En Joong : Fils de calligraphe, né à Booyo en Corée du Sud, le Père Kim En Joong est dominicain. Il a fait des études à l'école des Beaux Arts de Séoul. Découvrant le catholicisme en 1965, il est baptisé en 1967, s'installe en Europe en 1969 et est ordonné prêtre en 1974. Ses toiles non figuratives, nourries de notions techniques neuves sur l'espace et la perspective, imposent un dépaysement, point de départ d'une quête du mystère divin.

Poète, traducteur, romancier, François Cheng (né en 1929, Chine) est issu d'une famille de lettrés et d'universitaires. Il reçoit le prix André Malraux pour Shitao, la saveur du monde, le prix Roger Caillois pour ses essais et son recueil de poèmes Double chant, le prix Femina pour son roman Le Dit de Tianyi et le Grand prix de la Francophonie pour l'ensemble de son œuvre. Docteur honoris causa de l’université de Bergame (Italie) et de l’Institut catholique de Paris (2007). Il a été élu à l'Académie française, le 13 juin 2002, au fauteuil de Jacques de Bourbon Busset (34e fauteuil).


La Parole naît souvent au terme d'un lent compostage !

Les alchimistes parlent de l'œuvre au noir (Cf. 17 - Le Champ de l'Étoile).

Les psychanalystes de l'élaboration psychique

Tout comme l'obscurité précède la lumière, le silence précède la Parole.

Au commencement était le Silence.
Du sein du Silence est né le Son.
Le Son est l'Amour.
Le Son est le Fils du Seigneur.
Le Seigneur est le Silence.
Au sein du Silence reposait le Son.

Dialogues avec l'Ange

Je suis fils de Poésie,
Poésie, fille de Réflexion,
Réflexion, fille de Méditation,
Méditation, fille de Science,
Science, fille d'enquête,
Enquête, fille de Recherche,
Recherche, fille de Grande Science,
Grande Science, fille de Grande Intelligence,
Grande Intelligence, fille de Compréhension,
Compréhension, fille de Sagesse,
Sagesse, fille des Trois dieux de Dana.




Extrait du livre de Bernard LEBLANC-HALMOS :

Ce que les mots veulent dire
Les secrets du Jardin Étymologique
Editions L'Être Image




Miranda Gray


Miranda Gray œuvre pour la reconnaissance de la nature cyclique des femmes. Elle mène une existence conforme à ce qu'elle enseigne. Elle est artiste, créatrice multimédia, écrivain (Lune rouge, [PDF] La femme lunaire, Le Tarot de Merlin, The optimized woman, Spiritual messages for women), professeur de thérapie alternative et animatrice d'ateliers internationaux sur le féminin.

Miranda Gray amène une énergie renouvelée grâce à l'alchimie des enseignements celtiques, de la mythologie, du tarot et des cristaux.

Porteuse de l'énergie du féminin sacré, elle est l'initiatrice du mouvement international "Womb Blessing / Bénédiction de l’Utérus".


Lune Rouge
Comprendre et utiliser les énergies créatrices, sexuelles et spirituelles du cycle menstruel

Le cycle menstruel était pour nos ancêtres la source de puissantes énergies créatrices, spirituelles, sexuelles, émotionnelles, mentales et physiques. Il offrait à la femme la capacité de se régénérer chaque mois, de révéler et créer le monde autour d'elle, de communier avec la terre et avec sa famille, et de faire preuve d'une sagesse et d'une inspiration profondes. Nous avons aujourd'hui encore accès à cet enseignement féminin antique au travers de la mythologie et des contes pour enfants. En associant aux récits et contes traditionnels des outils et des exercices pratiques (dont le «cadran lunaire»), Miranda Gray initie la femme moderne à sa nature cyclique et lui donne ainsi les moyens de vivre pleinement une existence passionnée et créative. 'Lune rouge' aide la femme à : interagir concrètement avec les énergies du cycle menstruel ; appliquer ces énergies à sa créativité, sa sexualité et sa spiritualité ; réveiller les mythes cycliques pour elle-même et pour les générations futures.


Dans le cadre de l'association Au fil de Soi (06 71 11 70 19), Miranda Gray donnera une conférence à Rennes le Vendredi 19 octobre 2012 à 20h 30.

Elle animera également un atelier les 20 et 21 octobre prochain toujours à Rennes dans le but de former des femmes à offrir elles mêmes cette bénédiction.
 
L'atelier est désormais complet mais il sera peut être possible d'en imaginer une suite.

Miranda Gray joue un rôle très important sur le plan international dans la transmission d’un autre regard sur le cycle menstruel féminin et invite chaque femme à découvrir l’importance de se relier à l’énergie de son utérus.

Elle propose depuis le début de l’année aux femmes de se connecter ensemble et à elle, via internet, à des dates précises, pour vivre ensemble « une bénédiction de leur utérus ».

Le nombre de femmes participant à cette bénédiction est déjà de plusieurs milliers ; il augmente tous les jours et rassemble des femmes du monde entier.

A travers cette conférence échanges, Miranda Gray propose de nous éclairer sur son cheminement, et sur le sens profond de cette reliance unique qu’elle propose, à travers notre utérus, avec notre Etre intérieur, notre Ame, la Grande Mère,
Source de toute vie, notre créativité, et une mémoire qui nous vient du fond des âges et nous relie au grand cercle des femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

La conférence sera en anglais avec traduction.

Liens associés :

jeudi 23 août 2012

L'absence…


du 2 au 23 novembre 2012 

SapaS

exposera sa Série "L'absence"

au festival OFF de la photographie à Paris

L’automne entamé, SapaS vous montre ici un travail sur les deux saisons vertes de l’année. Ses « Orbres » numériques vous laissent rentrer dans ses fractals végétaux. Ici pas de sens, mais du libre choix de regard. La photo de nature non plus comme paysage, mais comme support méditatif pour ramener à la maison et partir en forêt, qui sait !!? Le plastic restera à la maison ;-) Ou l’Homme n’est pas, la nature vous parle. S’aventurer offre toujours des surprises, … vous l’avez toujours Su.

Adresse : 7 rue Saint-Paul 75004 Paris
Métro : Pont Marie ou Saint-Paul
Horaires d’ouverture : de mardi à dimanche de 09:00 à 19:00
Date du vernissage : 08/11/2012 de 18:00 à 20:30
Site internet : www.egoparis.com

mercredi 18 juillet 2012

La biodiversité sacrifiée…


La Biodiversité sacrifiée


sur l'autel de la productivité


La Cour de Justice de l'Union Européenne

désavoue
 Kokopelli et son avocat général



Kokopelli est un personnage mythique souvent représenté comme un joueur de flûte bossu, issu des anciennes croyances amérindiennes du Sud-Ouest des États-Unis, il a plus de 3000 ans. Kokopelli était une image de la mythologie des Indiens Anasazi, symbole de fertilité, de joie, de fête, de longue vie. C’est aussi un ménestrel, un esprit de la musique, un conteur, un voyageur de commerce, un faiseur de pluie, un guérisseur, un professeur, un magicien farceur, un séducteur, un fertilisateur (il a d’ailleurs aussi comme autres noms "le Casanova Anasazi" ou "Cassanova of the Cliff Dwellers" car il est parfois représenté avec un attribut mâle d’une taille exagérée). Kokopelli possède la sagesse de l’âge. Ce voyageur joyeux a une leçon pour chacun. Sa plus grande leçon semble être de nous montrer que nous ne devrions pas prendre la vie trop au sérieux. Il est plus particulièrement présent dans le pays du « Four corners », haut plateau à cheval sur quatre états (Nouveau-Mexique, Colorado, Utah et Arizona) dont l’intersection se trouve sur la réserve des indiens Navajos. Néanmoins des peintures rupestres le représentant ont été trouvées du Pérou au Canada.

lundi 16 juillet 2012

Bétoines le long du canal d'Ille-et-Rance

Le 11 août 2011 lors d'une promenade en vélo, le long du canal d'Ille-et-Rance, en amont de Trévérien, nous avions repéré ces jolies fleurs :





Il s'avère que ce sont des Bétoines pourprées !

Le nom vulgaire, Bétoine, vient du celte bew (tête) et ton (bon) et signifie "bon pour la tête. Cette plante a longtemps été appelée Betonica Officinalis mais l’appellation moderne la nomme Stachys officinalis pour la rapprocher du genre des épiaires dont elle fait parties. Elle fait parties de la famille des Lamiacées ou labiées dans laquelle on trouve plus de 6000 plantes différentes et un paquet sacrément utile comme, la sauge, le thym, le basilic, l’origan, la lavande, la menthe et le romarin.

Nom commun : Épiaire officinale, Épiaire vulgaire, Bétoine, Bétoine pourprée, Bétoine officinale.
 

Autre appellation : Vettonica (gaulois), Bétoyne (écriture médiévale), Thé suisse, Tabac des gardes, herbe à la saignée (en Dauphiné).

La bétoine est une gracieuse plante vivace, à racine noueuse de la grosseur du petit doigt, brune et fibreuse. La tige carrée, de 20 à 60 cm, est dressée, simple, noueuse et velue. Les feuilles sont opposées, ovales, cordiformes, allongées, crénelées et longuement pétiolées à la base de la plante, elles sont plus petites et plus étroites vers la hauteur. Les fleurs apparaissent de juin à septembre, elles sont d'un beau rouge pourpré. Groupée en petits verticilles, leur réunion donne un long épi terminal. Le fruit est composé de 4 akènes bruns et velus. chez Marie

Elle parle d'une amitié inaltérable

lundi 2 juillet 2012

Pinson des arbres

Ce pinson des arbres nous enchante !




 …

mardi 26 juin 2012

Des nouvelles du Hêtre de Ponthus…


Voici le hêtre de Ponthus tel que nous l'avons trouvé le 16 juin dernier…

Bien que son tronc soit creux, il est encore vigoureux.

Il s'est délesté de quelques branches mortes avec l'aide des intempéries.

En effet suite a l'abattage nécessaire de nombreux arbres victimes d'un parasite autour de Ponthus les derniers grands vents ont fait tomber un pin sur une branche basse et vermoulue.

Klaod Roparz ainsi que Corinne Serrat ont pris des renseignements concrets auprès des personnes gérant cet espace forestier.

Ceci n'était pas voulu par le propriétaire qui n'a nullement l'intention de le couper.

Bien au contraire les bûcherons lui ont fait un peu d'entretien.

Il tire visiblement parti de la lumière apportée par l'éclaircie… car la mousse a diminué.

Les arbres aussi ont besoin d'aller chez le coiffeur de temps en temps.

Mais quoi qu'il en soit ils ne sont pas éternels.

Le Hêtre de Roche-Plate est mort tranquillement loin des regards humains…


mardi 8 mai 2012

Frêne en fleurs !




Quelques liens :

dimanche 29 avril 2012

mardi 17 avril 2012

La Mère du Monde

 Le n°51 de Sacrée Planète est paru !


A signaler dans ce n°51 un entretien avec Jacques Collin par Marie-Hélène Courtat.


Jacques Collin, que les personnes s’intéressant à l’Eau connaissent bien, vient de sortir un troisième livre « L’eau-delà de l’eau ». Nous savons tous intuitivement que boire est essentiel à la santé. Au-delà des aspects très concrets, Jacques Collin nous initie à la véritable nature profonde de cet élément, qui nous est à la fois si familier et si méconnu.

L'eau est bienfaisante

Elle sert à tous sans différence

Coule où personne ne séjourne

Et se trouve toute proche du Tao.


Rien n'est plus souple et faible

Au monde, que l'eau.

Pourtant pour attaquer

Ce qui est dur et fort

Rien ne la surpasse

Et personne ne pourrait l'égaler.



Tao Te King, Lao Tseu, chapitres 8 et 78 (Lao-Tseu - Tao Te Ching)

Quelle eau devez-vous boire selon votre typologie et vos objectifs de santé ?

Voici les ouvrages de Jacques Collin au sujet de l'Eau :




En voici quatre autres au sujet de la purification et de la dynamisation de l'Eau :






La Vie, une et indivisible, est souple et flexible. La Vie est fluide ; elle court comme l'eau du torrent qui descend de la montagne. Elle ne s'arrête jamais. Elle s'écoule et son visage change sans cesse…

Dans la symbolique chinoise, l'Eau, en tant que ferment liquide du souffle primordial, est à la source des autres agents et à l'origine de toute vie. Chacun dépend d'elle pour vivre…

Elle est l'expression première du Mystérieux Féminin dont la porte est racine de Ciel et Terre.

Fluide, souple et flexible, l'Eau est libre et sans attache. Bénéfique à tout, elle n'est rivale de rien.

Simple et sans prétention elle séjourne aux bas-fonds dédaignés de chacun. Elle est simple, discrète, passive, réceptive.

Elle est associée au Nord, au froid, à l'hiver, aux reins (et plus spécialement au rein droit), à la couleur noire, et au Yin dont les mutations se font en douceur, s'étendent comme un flux et progressent de manière souterraine.

Cette Eau de Vie nous allons la trouver dans les sources, les puits, les cours d'eau, et toute la vie va s'organiser autour d'elle. Qu'elle vienne à manquer et la terre se transforme en désert… qu'elle soit polluée et la maladie s'installe !

Lorsque une source jaillit, l'Eau ne sait pas tout d’abord où elle veut aller. Mais, par son écoulement incessant, elle remplit - juste à point et pas davantage - les endroits profonds qui font obstacle à son progrès et surmonte les barrages les plus hauts, à moins qu'elle trouve des passages secrets dans les profondeurs de la terre… Elle ne s'arrête jamais. Elle s'écoule et son visage change sans cesse… Elle ne s'effraie devant aucun endroit dangereux, ni aucune chute, et rien ne lui fait perdre sa nature essentielle. En toutes circonstances elle demeure fidèle et égale à elle-même. Elle se laisse couler vers le bas sans interruption, d'une manière humble, continue, patiente et persévérante, sans jamais se lasser ni se décourager. C’est ainsi qu’elle trouve son chemin, creuse son lit, poursuit sa marche en avant et atteint sûrement son but : la Mer originelle.

Cette eau matricielle de l'Océan, qui est à l'origine de toute vie sur notre planète, va s'évaporer sous l'action du soleil, s'imprégner des rayonnements solaires et cosmiques, puis retomber en bénédiction sur la Terre. Tout au long du parcours qui la ramènera à son origine, elle va irriguer la terre et y permettre la floraison de la Vie une et indivisible.

En automne puis en hiver, alors que la Force motrice se retire dans la terre, elle est l'agent régénérant, purifiant, nettoyant, dissolvant, qui renouvelle et fertilise toutes choses favorisant la germination dans l'obscurité de la terre maternelle recouverte de son blanc manteau de neige.

Au printemps la Force motrice entre en action et apparaît dans le ciel sous forme d'éclair et de tonnerre. Les nuages passent, une douce pluie tombe qui fait descendre dans la terre les vertus célestes, et tous les êtres affluent dans leur forme individuelle.

C'est la Lune qui rythme le mouvement cyclique des eaux, à la surface (vagues, flux et reflux des marées) et à l'intérieur de la Terre et dans l'organisme de tous les êtres vivants.

L'Eau évoque la fontaine intarissable de la nature nouménale, les racines invisibles, la profondeur, l'intériorité, le silence, le rythme, la transformation et la régénération, la récréation, le repos (faculté de récupération), le sommeil, les rêves et l'imagination, la mémoire, la libération des énergies inconscientes, la sensibilité et l'émotivité, la réceptivité, la conception, la germination, la gestation, la fermentation, la fécondité, l'instinct et l'intuition, le lien avec la divinité profonde, l'accès à l'inconscient collectif et la mémoire universelle.

Babaji, par l'intermédiaire d'Anne et Daniel Meurois Givaudan, dans leur livre "Wésak l'heure de la Réconciliation", nous invite à Communier avec l'Eau :


“Il faut tout fluidifier, ne rien pétrifier. Le Souffle du monde qui entraîne tout dans sa course, appelle à ce que tout circule, et nous invite à ouvrir les vannes de nos barrages et les portes de nos écluses de censures, avant que le Grand Nettoyage indispensable au maintien de la Vie, le nettoyage des écuries d'Augias par les Eaux du Verseau ne vienne tout emporter de force…

Ce grand coup de balai détruit tout ce que nous croyions être des bases solides. C'est l'étape de l'effondrement, la destruction brutale de toutes les constructions illusoires du moi séparatif, de tous les obstacles à la libre circulation du Flux de la Vie… 


L'esprit de l'Eau est un esprit de baptême, une force rénovatrice… C'est la joie retrouvée, tout d'abord de savoir que quelque chose circule en soi, puis de reconnaître ce "quelque chose" sans qu'il soit même besoin de lui donner un nom.

La joie et le rire sont analogues à un système urinaire sur les plans de notre réalité subtile. Par eux, nous éliminons les déchets que notre psychisme a généré à travers les épreuves, nous nous lavons et nous sapons les bases de quelques barrières limitatives.


Le rire fait partie de cette essence de l'Eau ! Il est un diluant, un surprenant nettoyant capable de désincruster toute chose qui se pétrifie à l'extrême, c'est à dire les éléments de cet inutile sérieux dramatisant qui font de nous un canal étroit par lequel la vie a peine à se faufiler.
 

Le sang en tant que facette de l'Eau universelle qui circule en nous, est un grand récepteur, une grande "plaque sensible" de tout ce qui intervient dans l'univers personnel de chacun. Il est un incroyable mémorisateur de peurs et de pulsions, l'un des moteurs de la nature animale, irraisonnée, qui agit en tout être humain.
 

Le sang est une Eau polarisée par le principe du Fer, associé au mouvement, à l'animal, au plexus solaire qui est le centre de l'harmonisation avec l'environnement, à la construction de l'égo. Ce sang a besoin à chaque instant d'être lavé, purifié, de toutes nos peurs, nos doutes, nos angoisses et de nos réflexes primaires de protection et d'agression, afin de libérer les tensions qui en s'accumulant deviennent autant de barrages et d'obstacles à la libre circulation du flux vital.
 

Le pardon véhicule en lui la compréhension du mal dont souffre "l'autre"… Il suggère que "les vêtements" de l'autre" soient habités par nous ne serait-ce que quelques secondes.
(Le jugement ne fait qu'exprimer une souffrance, celle de la vision réductionniste de l'égo qui se veut mesure de tout. Et si nous acceptions de n'être mesure de rien ?…)
 

L'offrande : Nous sommes un paysage dans lequel la Vie se cherche et poursuit son ascension. Offrir notre peine au monde et à cette vie, c'est reconnaître que nous participons avec Amour à sa grande aventure. Ne soyons plus ni l'homme qui décide et qui sait, ni la femme qui subit ou se rebelle.
 

L'Eau fait à la fois office de liant et de dissolvant. Elle unit le masculin au féminin et libère en les gommant les impuretés. De cette façon, le principe mâle qui vit en chacun peut accepter de nettoyer son cœur par le canal de ses yeux sans s'en trouver diminué. Un larme peut avoir sa propre grandeur.
 

La liberté : L'Eau que la Terre porte peut laisser s'exprimer en son sein un Feu apte à dégeler notre apathie, à fondre la glace de notre immobilisme. Disons non à tout ce qui est factice, aux modèles imposés, à tous les Sur-Moi, et Oui au Feu qui jaillit des tréfonds de notre être, à notre Soi, notre génie personnel, notre individualité, notre Awen.
 

La véritable et grande liberté, celle de l'Eau qui se diffuse, est à découvrir en marge des morales, car elle est rayon qui jailit du cœur, hymne vivant à l'équilibre total.”