jeudi 19 août 2021

Le Grand Effroi…

Il est probable que les personnes ayant accepté de boire la soupe populaire et expérimentale, soient confrontées prochainement à une intensification catastrophique de leur dépendance immunitaire, et qu’il y ait chez ces personnes exposées au variant Delta ou potentiellement à d'autres souches de coronavirus des effets ADE.


Ces personnes sont en quelque sorte montés dans un train dont ils ignorent la destination, en renonçant à leur souveraineté, leur autonomie, leur immunité, leur liberté…



« Elles ont
laissé échapper le gouvernail de leur propre vie et ce qu'il adviendra d’elles dépend désormais du hasard et des influences extérieures. »

Six en haut dans l’hexagramme 58 du Yi King : Touei / Le Joyeux, le Lac.


Il se pourrait donc que l’automne soit très poétique :



Ajouts du 24/10/2021 :




De nombreuses personnes sensibles nous ont préparé à ce moment qui semble imminent :


Anne Givaudan et Daniel Meurois dans leurs ouvrages :


L'astrologue François Barthomeuf dans ses vidéos :

Myrha dans :


Anne Givaudan dans :


Patricia Darré qui nous propose dans son dernier livre




Aimée Soleil dans ses dernières vidéos :


Monique Mathieu dont les guides nous disent

qu’Il n'y en a plus pour très longtemps !


Les prédictions de Jucelino Da Luz


Le grand effroi passé fleurira de verveine,

L'oiseau ramènera le gui au creux du chêne

Pour les faucilles d'or.

L'Homme redressera la vieille croix rustique

Et le vent reprendra l'éternelle musique

Des harpes de l'Armor.

Celtes, vous connaîtrez le bonheur édénique,

Peuple nu, insoumis, qu'indiffère la mort ;

Dieu vous protégera de sa rouge tunique

Des remparts de Guérande, aux rochers de Glen-More.


Le Graal par Ar Roh Ilia



Voir également sur ce blog :

mardi 17 août 2021

Décapitation / Crucifixion / Corrida !



Dans la continuité de mes différents articles postés sur ce blog depuis le 8 décembre 2019 (S’ouvrir à la Présence…), dont le thème récurrent est le combat contre l’Ogre intérieur (Cf. À lire ou à relire !), je vous propose aujourd’hui quelques réflexions.


Où que nous nous tournions nous voyons à l’œuvre la Grande Pieuvre, le Malin, le destructeur de la science et de la sagesse, l’éternel ennemi de l’âme connaissante, le Grand Vorace, le Grand Malfaiteur, le Menteur, le Séducteur.


Cet ennemi est en chacun d’entre nous et il nous ment monumentalement.


Il est lié à une fonction psychique qui nous aliène depuis la petite enfance (et de vies en vies depuis des lustres !) et nous maintient dans l’illusion, la « toute puissance infantile », la « perversion narcissique », la culpabilité, la névrose, la séparation, la solitude…


La situation présente ne peut nous laisser indifférents. Elle nous demande de choisir, de nous coucher et de nous soumettre aux forces d’Involution qui veulent nous domestiquer (avec l’aide de cet ogre intérieur), ou tel Ashitaka, de nous lever et de nous mettre au Service de la Vie et de l’Éveil des consciences ! Cf. Princesse Mononoké de Hayao Miyazaki.


C’est dans ce contexte que j’ai repris la lecture de Par l’Esprit du Soleil transmis par Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN (1990) dont voici quelques extraits aménagés :


« Il existe trois façons de se lever… : prière, méditation et purification par l’action.


La prière : un don de notre amour, des mots venus de notre cœur, nous-même en présence du Diamant !

Elle nécessite l’abandon de cette force qui, en l’homme, veut imposer son petit vouloir immédiat et égotique : Vouloir ce qui est voulu / Que Ta volonté soit faite…

Cf. Septembre, mois de tous les dangers.


La méditation : Elle a par but de nous mettre en contact avec notre Essence et par là même, de nous mettre à la disposition d’autrui en tant que pont entre l’Énergie divine et les forces encore pesantes de ce monde. Elle demande une sensibilité, une orientation de l’esprit…


La purification par l’action : L’une des plus belles façons de permettre à cette sensibilité de germer en faisant éclater notre gangue de résistance se nomme le « Service à la Vie », indissociable de la spontanéité, en devenant simplement un canal de l’Amour omniprésent qui demande à s’incarner, en nous laissant envahir par le cri de la Vie à elle-même et en devenant prière nous-même, action sereine. De la simplicité jaillit tout bonheur, de la simplicité jaillit l’évidence de la Lumière. »


Ce texte nous renvoie au troisième chapitre (Le Karma-yoga / La discipline de l’Action) de la Bhagavad GitaKrishna nous invite à l’Action, au Combat. En voici quelques extraits en deux traductions complémentaires, le deuxième étant celle d’Anne-Marie Esnoul et Olivier Lacombe.


30


Aussi, ô Arjuna, Me consacrant tous tes actes, en pleine connaissance de Ma personne, sans chercher le gain ou revendiquer la moindre possession, sans te laisser abattre, combats.


Me dédiant toutes actions, d’un esprit parfaitement intériorisé, affranchi de tour désir comme de toute esprit de possession, ta fièvre apaisée, combats.


36


Arjuna dit: Ô descendant de Vṛṣṇi, qu’est-ce qui pousse contre son gré l’homme au péché, comme s’il y était contraint ?


Alors poussé par quel facteur, ô descendant de Vrshni, l’homme commet-il le mal, comme sous l’injonction d’une force contraignante ?


37


Dieu, la Personne Suprême, répond: C’est la concupiscence seule, Arjuna, qui naît au contact du guṇa de la passion, et qui, par la suite, se transforme en colère. Immense péché, elle est l’ennemi dévastateur du monde.


Le Bienheureux Seigneur dit :

C’est la convoitise, c’est la colère, nées du facteur passionnel, le Grand Vorace, le Grand Malfaiteur. Sache qu’en ce cas l’ennemi c’est lui.


38


De même que la fumée masque le feu, que la poussière recouvre le miroir ou que la matrice enveloppe l’embryon, différents degrés de concupiscence recouvrent l’être.


Comme le feu est voilé par la fumée et un miroir par la poussière, comme l’embryon est recouvert de sa membrane, ainsi le principe spirituel l’est-il par lui.


39


C’est ainsi, ô fils de Kuntī, que la conscience pure de l’être connaissant devient voilée par son ennemi éternel, l’insatiable désir qui flambe comme le feu.


La connaissance est voilée par cet éternel ennemi de l’âme connaissante, feu insatiable qui prend la forme du désir, ô fils de Kunti.


40


C’est dans les sens, le mental et l’intelligence, que se loge cette concupiscence. Par leur intermédiaire, elle recouvre le savoir véritable de l’être vivant et l’égare.


Les facultés sensibles, les facultés mentale et intellectuelle constituent, dit-on, son siège. Par leur entremise, il enveloppe l’âme incarnée et affole son jugement.


41


Aussi, Arjuna, ô meilleur des Bharatas, commence par enrayer le fléau de la concupiscence, symbole même du péché, en disciplinant tes sens. Écrase ce destructeur de la connaissance et de la réalisation spirituelle.


C’est pourquoi, en ce qui te concerne, ô Bhâratide, maîtrisant d’abord tes facultés sensibles, il te faut détruire ce malin, destructeur de la science et de la sagesse.


42


Les sens prévalent sur la matière inerte; supérieur aux sens est le mental, et l’intelligence surpasse le mental. Mais plus élevée encore est l’âme.


On dit que les sens dépassent les objets sensibles, la faculté mentale dépasse les sens, la faculté intellectuelle dépasse la faculté mentale. Mais celui qui est au-delà de la faculté intellectuelle, c’est lui.


43


Ainsi sachant le soi au-delà des sens, du mental et de l’intelligence matériels, ô Arjuna aux bras puissants, tempère ton mental par l’action délibérée de l’intelligence spirituelle [la conscience de Kṛṣṇa] et de par cette force spirituelle, conquiers cet ennemi insatiable qu’est la concupiscence.


Connaissant avec ce qui dépasse la faculté intellectuelle, affermissant le Soi par le Soi, guerrier aux grands bras, détruis cet ennemi qui porte les traits du désir et dont l’approche est périlleuse.


Cet ennemi est en chacun d’entre nous, il nous attend au cœur de notre labyrinthe, au cœur du Château de la Peur, au cœur de la Citadelle Obscure…


« Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille l'homme sera devant la bouche d'ombre d'un labyrinthe obscur.

Et je vois au fond de cette nuit dans laquelle il va s'enfoncer les yeux rouges du Minotaure. »

La prophétie de Jean de Jérusalem


Bonne corrida !



/|\ Per Al Leal

vendredi 6 août 2021

Ne nous trompons pas d’“ennemis” par Olivier Clerc


Ne nous trompons pas d'"ennemis"

Plus dangereux que la covid, le virus de la division

(version PDF imprimable)


Dans quel camp êtes-vous ? Êtes-vous pour ou contre le vaccin ? Pour ou contre le pass sanitaire ? Qui sont vos alliés, et qui vos ennemis ?


Depuis bientôt un an et demi, la société se clive de plus en plus. Chaque camp projette le diable sur l’autre. Depuis le 12 juillet, la situation est encore pire. Dans les familles, dans les entreprises, les associations, partout, les gens commencent à se regarder de travers selon que l’autre est ou non du même bord que soi.


Un virus bien plus dangereux que la covid est en train de détruire la société sous nos yeux : celui de la division, celui de l’étiquetage mutuel, du jugement, de la haine et de l’exclusion.


Si nous le laissons proliférer, dans quel monde allons-nous vivre demain ? Allons-nous laisser la société se couper en deux, avec une ligne de partage qui traversera chaque famille, chaque ville ou village, chaque commerce, chaque parti, chaque association ?


Un tel clivage ne peut avoir aucun gagnant. Peu importe le camp qui l’emporterait, ce serait l’esprit de division qui aurait triomphé et qui, demain, créerait de nouvelles lignes de fractures et poursuivrait sans fin le morcellement ainsi amorcé. Jusqu’à ce que tout le tissu social ne soit plus qu’un champ de ruines.


L’unité, seul remède à la division — que certains responsables politiques invoquent sans vraiment savoir de quoi ils parlent — ne peut exister qu’entre personnes ayant des convictions, des croyances, des pratiques différentes, mais sachant néanmoins se respecter mutuellement et vivre ensemble. Lorsque ces différences ne sont plus tolérées, comme actuellement, ce n’est pas l’unité qui règne, mais l’uniformité qui en est l’exact contraire, puisqu’elle détruit la diversité indispensable au vivant.


Si nous voulons trouver de véritables “ennemis” à combattre, mais cette fois pour rester unis et ne pas nous tromper de cibles, en voici quelques-uns, dont vous constaterez qu’aucun n’est une personne ni un groupe d’individus :


- L’esprit binaire vient en tête de liste, bien sûr, car il nous conduit à réduire la complexité des choses, des gens et des problèmes à des dualités simplistes, pour/contre, gentil/méchant, bon/mauvais, qu’on répartit en camps adverses. C’est lui qui donne naissance à l’esprit de division.


- La peur vient en second, qui a envahi la société depuis un an et demi : sa vibration émotionnelle toxique empêche de penser correctement, sans compter qu’elle empoisonne nos cellules et affaiblit notre immunité.


- Le besoin d’avoir raison suit juste après : la conviction d’être seuls détenteurs d’une vérité, sans accorder le moindre crédit à qui pense différemment. Le mental humain étant capable de justifier toutes les croyances, sans exception, les plus pertinentes comme les plus fausses, avoir raison ne prouve jamais qu’on soit dans le vrai. La vérité est plus vaste qu’aucun raisonnement.


- L’étiquetage qui parasite depuis un an le journalisme : étiqueter quelqu’un (complotiste, rassuriste, alarmiste...) permet de disqualifier cette personne sans même s’intéresser à ce qui motive son point de vue. Une fois étiquetée, elle en perd d’ailleurs son statut de personne à part entière : elle est réduite à une opinion, forcément erronée.


- La diabolisation du camp adverse, qui en découle naturellement : si l’autre ne pense pas comme moi, c’est qu’il est mauvais, qu’il a tort, qu’il est nuisible à moi-même et aux autres. Rapidement, on ne le voit plus vraiment comme un être humain d’ailleurs, plutôt comme un monstre, un ennemi à neutraliser.


- La conviction de faire ce qui est bon pour les autres, déjà dénoncée autrefois par Alice Miller (1) dans son fameux livre C’est pour ton bien. Un proverbe touareg enseigne avec sagesse que « Ce qu’on fait pour les autres, sans les autres, c’est contre les autres ». Autrement dit, le« bien commun » ne peut résulter que d’un cheminement collectif.


- L’exclusion, qui est la conséquence logique de tout ce qui précède. Celui de l’autre bord a tort, il est mauvais, d’ailleurs il ou elle est ...... (choisir son étiquette). Je sais mieux que lui ce qui est bon pour lui. Et s’il ne veut pas s’y plier, il ne reste qu’à l’exclure. Il ou elle l’aura bien cherché.


On pourrait certainement en trouver d’autres, mais nos véritables “ennemis” sont là, ils sont en nous. Il s’agit d’attitudes, de comportements que chacun de nous est susceptible d’arborer, quel que soit son camp, et qui sont une véritable gangrène pour le corps social que nous formons ensemble. Ces “ennemis”-là — ces poisons-là, devrait-on dire — nous ne pouvons les guérir qu’avec ces antidotes à (re) découvrir que sont :


- Le dialogue, et en particulier la capacité à converser en bonne intelligence avec ceux et celles qui pensent autrement que nous, à nous ouvrir à leurs sources d’information, à leur expérience personnelle, leur parcours de vie, à tout ce qui les conduit à avoir aujourd’hui telle opinion, différente de la nôtre.


- La capacité à se remettre en question, à accepter que nul ne détient toute la vérité, la volonté d’aller examiner d’autres points de vue que le sien. Voire, celle de reconnaître que l’on avait en partie tort...


- L’acceptation de la complexité, car le monde n’est pas binaire, noir/blanc. Aucun problème ne peut se résumer à des 0 et des 1 : il y a d’infinies combinaisons, d’infinies nuances de gris.


- L’esprit d’inclusion, enfin, car l’autre, quelles que soient les opinions qu’il cultive, est un être humain comme moi, possédant les mêmes besoins fondamentaux, les mêmes aspirations essentielles, quelqu’un de bien moins différent de moi que nos idées ou croyances divergentes ne le laissent supposer en apparence.


Alors, qu’allons-nous combattre, au final ?


D’illusoires ennemis extérieurs, qui sont en réalité nos frères et sœurs en humanité, quitte à imposer à notre société l’une des divisions les plus profondes et les plus lourdes de conséquences de son histoire ? 


Allons-nous laisser apparaître une guerre civile, des émeutes un peu partout, ou encore une nouvelle guerre de religion, opposant cette fois des croyances médicales (2) à d’autres ?


Ou allons-nous plutôt nous occuper de nos propres ennemis intérieurs, nos peurs, nos vieux réflexes claniques, nos jugements, nos rejets ?


Surtout : quelle société nos choix vont-ils produire demain ?


Une société coupée en deux, déchirée d’un bout à l’autre par une fracture traversant toutes les couches sociales, les catégories professionnelles, les appartenances ? Un tissu social en lambeaux, traversé par la peur, le ressentiment, la haine, la honte ?


Ou une société aspirant à l’unité malgré ses différences et ses désaccords, recherchant ensemble, dans la diversité et le pluralisme retrouvés, des solutions aux défis actuels, sans exclure ni rejeter personne ?


Nous sommes à un tournant majeur de notre histoire. Ne nous méprenons pas sur ce qui est réellement en jeu ici, bien au-delà de seules questions sanitaires (ou politiques). C’est de notre avenir commun dont il est véritablement question, de la manière dont nous allons choisir notre façon de vivre ensemble, les uns avec (ou contre) les autres.


Certaines décisions ne sont pas de notre ressort, elles sont dans les mains de ceux qui nous dirigent, pour le meilleur ou pour le pire.


D’autres, en revanche, ne dépendent que de nous, individuellement et collectivement. Personne ne peut nous contraindre à étiqueter, à juger, à rejeter, à haïr ou à exclure. Personne. Tous et toutes nous pouvons faire le choix du dialogue, de la rencontre, de l’ouverture à celles et ceux qui pensent autrement, qui ont d’autres convictions, d’autres pratiques. Nous pouvons refuser la division, refuser l’exclusion, être solidaires les uns des autres, par delà nos opinions divergentes.


Il n’y a pas des vaccinés d’un côté et des non-vaccinés de l’autre. Il y a seulement des êtres humains, hommes, femmes et enfants, qui aspirent tous à vivre en bonne intelligence les uns avec les autres, à cultiver et préserver leur santé, grâce à la multitude de médecines et thérapies complémentaires qui existent pour cela, et à affronter ensemble, dans le respect de leur diversité, les défis majeurs que nous présente notre époque. Nous n’y parviendrons qu’ensemble, tous ensemble, en nous appuyant sur la multitude de connaissances et d’expériences disponibles, dans toute leur richesse et leur complémentarité, sans plus en exclure aucune.


Olivier Clerc / Le Blog d'Olivier Clerc


Notes :

(1) Cf. C’est pour ton bien, d’Alice Miller, Éditions Aubier, 1984.

(2) Cf. mon livre Médecine, religion et peur : l’influence cachée des croyances, Éditions Trois Fontaines, 1998.

lundi 2 août 2021

Effets secondaires…

Effets secondaires d'une injection que certains voudraient rendre obligatoire !