Posted by toubib57 on nov - 16 - 2017
Août 99. Accompagné de sa mère, un jeune homme de 18 ans me consulte pour un rappel de vaccination contre l’hépatite B. La primo vaccination a été effectuée à titre systématique quelques années plus tôt dans son collège et cette injection supplémentaire est déjà inscrite dans son carnet de santé.
«Il m’a dit de relever ma manche et m’a injecté la mort »
En raison du contexte à risque et de l’insistance maternelle, j’effectue le rappel demandé. Quelques semaines plus tard, mon jeune patient présente des troubles de la marche et un nystagmus me faisant évoquer une première poussée de sclérose en plaques, diagnostic malheureusement confirmé peu après à l’I.R.M.
Aussitôt, les parents portent plainte contre moi, m’accusant d’avoir déclenché la maladie de leur fils en effectuant ce rappel. Ils choisissent un avocat de renom qui, pour faire monter la mayonnaise médiatique, obtient la parution dans le quotidien régional d’une pleine page sur cette affaire avec la photo du jeune homme en fauteuil roulant sous un titre assassin : «Il m’a dit de relever ma manche et m’a injecté la mort ».
Très affecté par cet article heureusement anonyme et éprouvant un profond sentiment de culpabilité, je tente de trouver un peu de soutien autour de moi.
Au ministère de la santé, on m’explique n’être plus concerné puisque l’obligation vaccinale vient d’être suspendue pour « calmer l’inquiétude populaire » (sic).
Le fabricant du vaccin se dédouane en précisant que le risque de survenue d’une réaction neurologique post-vaccinale est un « effet secondaire potentiel » connu et d’ailleurs inscrit dans la notice.
Quant au Conseil de l’Ordre, il me souhaite confraternellement bon courage, non sans avoir vérifié que j’étais à jour de ma cotisation annuelle.
Absolument tout seul pour assumer les conséquences du vaccin
Bref, je me retrouve absolument tout seul pour assumer les conséquences de mon acte et je rédige moi-même mon argumentaire en défense en le basant uniquement sur l’absence de lien prouvé de causalité entre vaccin et sclérose en plaques.
Je sais me montrer convaincant sans être convaincu, et mon jeune patient est débouté en première instance puis en appel. La procédure s’est définitivement éteinte en même temps que la victime, enterrée l’an dernier, mais pas le doute qu’elle a fait naître dans ma conscience.
Alors, quand j’apprends, en mars dernier, que le Conseil d’État a décidé de contraindre les fabricants à ressortir le seul vaccin obligatoire en France, le DTPolio dont ils avaient organisé la pénurie depuis 10 ans pour imposer aux médecins souhaitant respecter la Loi de le combiner à d’autres vaccins, facultatifs et aluminiques ;
Quand je découvre qu’immédiatement le gouvernement, sous la pression du lobby pharmaceutique, a programmé de contourner cet arrêt du CE en rendant obligatoires tous les vaccins facultatifs au motif d’éradiquer ces maladies de la planète (sur laquelle, rappelons-le, nous représentons moins d’1 % de la population).
Quand je note qu’une agence nationale de sécurité médicamenteuse fait taire un chercheur dont les travaux démontrent la toxicité neurologique de l’aluminium quand il est injecté (ce qui n’a rien à voir avec sa bénignité par voie orale dont on nous rebat les oreilles)
Quand je constate qu’on retire l’aluminium des vaccins vétérinaires mais qu’on le conserve dans ceux de nos enfants ;
Et quand je sais que dans notre pays merveilleux, les nuages atomiques s’arrêtent aux frontières, des ministres responsables mais pas coupables utilisent le sang contaminé pour ne pas le gâcher et le Médiator tue pendant 10 ans de trop, simplement parce que son fabricant est français, je ne peux m’empêcher d’exprimer un sérieux doute.
Un sérieux doute sur l’innocuité de l’aluminium !!
Pas sur l’intérêt de la vaccination que je considère comme l’une des découvertes médicales les plus importantes et les plus utiles. Non, j’ai un doute réel et sérieux sur l’innocuité de l’aluminium utilisé dans les adjuvants.
Et tout ce qui se passe et se dit actuellement ne parvient pas à me rassurer, surtout lorsque cela émane de politiques ou de scientifiques dont certains pataugent dans les conflits d’intérêts.
Alors je fais un rêve : si au lieu de menacer de sanctions financières les parents inquiets, d’éviction scolaire les enfants innocents ou de radiation professionnelle les médecins dubitatifs, pourquoi nos Autorités de Tutelle n’imposeraient-elles pas aux Laboratoire de modifier leurs adjuvants ?
Elles l’ont fait spontanément pour l’excipient du Levothyrox, avec les résultats que l’on a pu apprécier et sans que les malades ne leur aient rien demandé.
Cette fois, il existe une vraie demande publique de remplacement de l’aluminium par autre chose, comme par exemple le phosphate de calcium, produit naturel et parfaitement inoffensif, utilisé sans aucun problème dans plusieurs pays et par le Laboratoire Pasteur en France pendant une quinzaine d’années, jusqu’à sa fusion avec Mérieux, signant le retour de l’alu et de ses casseroles.
C’est peut-être un vœu pieux, mais cela aurait le mérite de calmer l’angoisse croissante de la population et, pour nous autres médecins, de lever enfin ce doute lancinant.
Repris du Blog du Docteur Gimbert
- L’intoxication de l’eau potable au sulfate d’aluminium, dans le village de Camelford (Royaume Uni) en 1988, a créé des troubles neurologiques importants chez certaines personnes. Ces dernières en sont même décédées au fil du temps. L’analyse des tissus du cerveau de certains patients, réalisé par le Pr Christopher Exley de l’Université de Keele a révélé des taux d’aluminium extrêmement élevés.
- La présence d’aluminium dans les eaux des appareils de dialyse d’insuffisants rénaux a créé de nombreuses démences dans les années 70. En supprimant, l’aluminium de l’eau utilisée, les médecins ont supprimé ces effets secondaires.
- L’utilisation à long terme de médicaments contre les maux d’estomac contenant de l’aluminium crée des démences chez les patients.
Informations transmises par :
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
Association loi 1901 sans but lucratif
21 rue de Clichy
75009 PARIS
www.ipsn.eu
Note : Nos animaux domestiques sont mieux traités que nos enfants !
« Les vaccins PUREVAX de Merial sont issus d’une technologie de pointe et formulés de façon à protéger votre chat contre un vaste éventail de maladies. Les vaccins félins de la gamme PUREVAX sont purs – ils ne contiennent pas d’adjuvants chimiques ayant le potentiel de provoquer des réactions locales ou allergiques. »
Voir également : On vaccine bien les chats sans aluminium !
« L’Afssaps recommande de ne pas utiliser les produits cosmétiques contenant de l’aluminium sur peau lésée. En effet, étant donné la forte absorption rapportée dans ces conditions, il serait nécessaire d’informer le consommateur que les produits antitranspirants ou déodorants ne doivent pas être utilisés après le rasage ou en cas de lésion de la peau de type microcoupures. L’Afssaps préconise que cette information figure sur les conditionnements.
Or, ce sont les mêmes particules que celles des vaccins…
Cherchez l'erreur !
Voir également :
"Les trois cas ont montré un lien de causalité. Ils sont morts de la dengue, bien qu'ils aient reçu du Dengvexia. Deux d'entre eux sont morts à cause de l'échec de la vaccination", a déclaré le sous-secrétaire à la Santé Enrique Domingo lors d'une conférence de presse.
Les Philippines ont subitement suspendu la distribution du Dengvexia, vaccin contre la dengue de Sanofi Pasteur, et ont ouvert une enquête sur le décès de 14 enfants morts après la vaccination.
…
…